Q. : Que dois-je comprendre de... [certaines paroles qui m’ont été dites et qui m’ont fait me sentir mal] ? (5 novembre 2011)
[...] Mais travaille sur toi. Guéris-toi. Arrête de te sentir toujours mal. La vie, il faut bien la vivre, être heureux, en profiter. Il ne faut pas s’en faire avec les autres, les remarques des autres. C’est toi et toi seulement qui juge, qui interprète, qui imagine... ne vois pas plus loin... les intentions. Regarde, écoute les paroles pour ce qu’elles sont, pas plus. [...] Décroche des mots, regarde leur sens caché, profond... L’Amour...
Q. : Pourquoi je réagis si mal aux commentaires négatifs ? (29 novembre 2011)
Les autres ne savent pas toujours et ça fait mal. Les paroles, il faut voir qu’elles sont juste des mots, que la personne prononce, selon ce qu’elle est, ce qu’elle pense, ce qu’elle vit. Bien souvent, ça la ramène à elle, à ses peurs, à son passé, à ce qu’elle connaît. Pas plus ! Pas moins !
Toi, tu interprètes, tu juges, tu ramènes aussi à toi. Et tu penses que c’est dit pour faire mal, ou à tout le moins, tu le prends comme un jugement, une attaque. Tu vas apprendre à prendre les choses au premier sens, au premier niveau. Tu commences à t’occuper de ton âme, de ta conscience, de ce qui est au-dedans. Il ne faut pas forcer la note, mais il faut persévérer, vouloir, croire, et te pardonner quand ça ne marche pas. Apprend, l’apprentissage c’est dur, c’est long et c’est fait d’erreurs, de recommencements. On efface, on recommence, au temps présent, sans remords, sans regrets. On peut s’excuser si on a fait du mal, parce que ça fait du bien à l’autre. Mais on ne se flagelle pas, on ne se complaît pas dans le remords: on passe à autre choses, à l’autre étape. On comprend la leçon, on l’enregistre, puis on repart à neuf, avec du bagage (léger) en plus. Un bagage d’amour, de sentiments positifs, d’émotions positives, de cœur ouvert, cette dimension en premier... C’est tout... et c’est normal que ça prenne du temps, tu as toute la vie. [...] [ça] t’agace à cause de ça. Par les souvenirs que ça fait rejaillir, par les blessures du passé encore ouvertes. Ferme-les, mets du baume dessus, donne le pardon, le vrai, et passe à autre chose.