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Vivre intensément, dans l'AMOUR, ici-maintenant

Q. : Y a-t-il un message aujourd’hui ? (22 novembre 2011)
Des millions de mots et des millions de cœurs, tous à l’unisson : c’est ainsi que se vivra la VIE, la vraie, sans hargne, sans haine, dans l’AMOUR, dans la joie. De belles pensées, toujours plus haut s’élançant vers le ciel, un ciel bleu sans nuages, pur, comme l’AMOUR qui doit nous porter. Tu cherches, à savoir, à comprendre, à connaître tout de la vie, de la mort, de ce qui unit, de ce qui sépare. En fait, rien ne sépare, dans le cœur, dans la JOIE éternelle. Seul le corps est un obstacle, à cause de l’oubli, des voiles, des brumes, voulues et nécessaires. [...]

(Sylvain) Je suis heureux, je suis bien. Je te regarde, je te suis, je TE « SUIS », c’est-à-dire en toi, vivant tes expériences, tes joies, tes bonheurs et tes doutes. Je t’accompagne, je te supporte et te protège. Tu peux me voir dans ton cœur. L’habit ne fait pas le moine... J’habille ton cœur, il en a besoin. Abolis la tristesse, mais vis-la aussi parfois, c’est nécessaire. Comment ? En faisant de petits moments, de petits hommages, des moments consacrés pour la vivre intensément, comme tout le reste. Tu sens, sur ta tête, dans tes cheveux, c’est moi...

[...] Le message général, c’est l’AMOUR, c’est la libération, la JOIE, la CONNAISSANCE éternelle. Mais il faut attendre son tour, le bon moment selon son plan de vie et il faut vivre intensément sa VIE, ressentir le moment présent, même la douleur, la vivre, être dans son corps, vraiment, solidement ancré à la terre et à nos émotions. Les vibrations, les sentiments, c’est ce qui compte, c’est l’IMPORTANT.

(Sylvain) Je n’avais pas cette capacité, ou très peu : je fuyais, je projetais ma vision trop en avant, je ne savais pas jouir du moment présent. La fuite dans le futur, c’est aussi grave que la fuite dans l’alcool : ça empêche de vivre, de ressentir vraiment les vraies choses, la vraie vie, terrestre, ordinaire. Banale peut-être mais riche d’enseignement. La fuite dans le travail, c’est grave aussi.

[...] Bientôt 1 an, ne sois pas triste : réjouis-toi pour moi, je suis bien, et pour toi d’avoir passé ce cap. Essaie d’oublier les moments pénibles à l’hôpital et tout ça. Vis le présent, vis notre belle nouvelle relation, encore plus belle, encore plus saine, plus zen, plus sereine... Plus d’amour dévoilé, dit, étalé, montré : pas d’orgueil, pas de cachettes, pas de peur d’avoir mal (de ma part tout ça) : la peur de l’abandon, du rejet, ça m’a brisé, ça t’a fait mal. C’était notre karma, je ne m’en veux pas, mais je suis désolé pour toi, ta sensibilité a été mise à rude épreuve. Tu es bonne, continue, ne lâche pas ta progression. Go Christiane go ! Et chou les arbitres : on n’en a pas besoin dans ça, tu vas t’arbitrer toute seule, avec mon aide et celle des autres anges, tes amis, mes amis.

[...] Je t’aime, je t’embrasse, je t’enveloppe... À DIEU, mon amour, mon âme, sœur...